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 [Fanfiction] Les anges peuvent sauvé de la mort

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Rose du mal
Une rose pas comme les autres...
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Rose du mal
23 messages postés
   Posté le 06-07-2007 à 21:30:46   Voir le profil de Rose du mal (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Rose du mal   

Certaint connaisse peut etre déja cette fic, mais pour se qui ne la connaisse pas la voila, /! Attention Ame sensible /!

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Les anges peuvent sauver de la mort


Chapitre 1


Assise dans mon lit, la radio allumer, il et 22h46min. Mes deux chats dorment, prés de moi, mais moi je ne dors pas, je suis la assise, j’ai installé, quatres ciseaux, de lame de rasoir, un mouchoir. Mon âme est à moitié éteinte, je n’ai plus espoir, je n’ai plus envie, je n’arrive plus a supporté cette douleur, ces coups, ces reproches, ces mensonges, ces faux-espoirs. J’ai décidé de mettre un terme à tout cela. Je regarde l’heure il et maintenant 23heures, le temps se fige, je n’entends plus la radio, elle s’est éteinte automatiquement, j’observe une dernière fois cette chambre, cette peluche, je l’ai depuis lomptemps, elle compte plus que tout au monde a mes yeux, elle me rappelle beaucoup de mauvais souvenirs, je lui parler dans mes moments de désespoir, elle a tout vu, mes chagrins, les coups que l’on me donner, ma première scarification, ma première douleur, mes souffrances, et maintenant, elle et encore là, a me regarder, elle m’observe, c’est comme si j’était née avec elle sauf que ce n’est pas le cas, je l’ai eu quand j’avais a peu prés 8ans, c’est une amie a mes parents qui me l’a offert pour un anniversaire. Mais maintenant, elle va me voir m’éteindre, tout comme elle a vue mon âme se détruire a petit feu, lentement, douloureusement. En la regardant, je verse une larme, elle coule le long de mon visage, suivit, d’autres larmes qui s’enchaines. Sa y et cette fois-ci c’est la fin, après plusieurs tentative échoué, le saut du 4eme étage, le glissement sous une voiture, a tout cela j’ai survécu, beaucoup de monde aurait voulu être a ma place, survivre a se genre d’accident. Je vis mes dernières minutes, dernières secondes. Je cesse enfin de pleuré, j’essuie mes larmes, et je prends la lame de rasoir, je la passe sur mon poignet gauche, je pose la lame du coté gauche de mon poignet et je la glisse vers la droite, la lame caresse ma peau, puis entre dans ma chair, pour toucher ma veine, sa y et cette fois-ci je pars, enfin, j’attendais se moment avec impatiente. Quand l’alerte incendie retenti, la lame reste accrocher à mon poignet, mon père vient me chercher, je prends mes chatons, mon téléphone, et nous sortons de l’appartement, mes sœurs et ma mère se trouve déjà en bas du bâtiment. Une fois de plus j’échappe a la mort, j’en ai marre, je n’ai pas de chance, le bâtiment, lui non plus. Mais je commence à avoir la tête qui tourne, je n’avais pas senti le sang coulai le long de mon poignet, je passe les chats a ma sœur, puis je regarde mon poignet, il et ensanglanter, la lame s’est enfoncer, elle et rester coincer, si je la sors mon sang va encore plus couler, et sa y et se sera enfin le moment, se moment que j’attendais temps. Je rapproche mon autre mains pour enlever la lame, mais je tombe, mes yeux se ferment, je ne respire plus, je ne me sens plus tomber, je n’entends plus rien, je perds tout mes sens.

Suis-je endormis ? Ou suis-je morte ? Que se passe t-il ? Toutes ses questions défilent dans ma tête. J’ouvre les yeux, je ne sais pas ou je suis, tout et si sombre, je ne vois pas un mur, pas de lumière, j’avance, malgré que je ne sais pas ou je vais, tout et si vain et vide, j’aperçois un point blanc au loin, sa semble se rapprocher, je sens une sorte de frissons, mon poignet me fait mal, je le regarde, je n’ai même plus la trace de la lame, je me sens étrange, c’est indescriptible, puis je regarde a nouveaux cette lumière blanche, elle c’est agrandi, on dirai des personnes, que me veulent-elle, peut être que je le saurai bientôt, je pense qu’ils ou elles sont quatre, oui, quatre, je ne l’ai ai jamais vue. J’ai l’impression que trois d’entre eux sont des garçons, et il y a une fille parmi eux. Sa y et ils sont prés de moi, il se rapproche, les voila enfin en face de moi, puis ne s’arrête même pas pour jeter un regard sur moi, mais je les dévisage, ils ne m’ont peut- être pas vue, ou peut-être au contraire, il m’évite exprès. Je ne pense pas que se soit une fille finalement.

« - Tu veux venir avec nous ? Dit l’un d’entre eux sans prendre la penne de se retourner.

- Vous allez ou ?

- La ou le destin a décidé de nous mener…

- Que voulez-vous dire ?

- Suis-nous, ou reste ici, comme tu le sens. »

Je décide de les suivre je ne sais pas ou ils vont, mais il vaut mieux que je marche avec eux, que rester seule. Nous marchons, lomptemps, très lomptemps, puis, nous arrivons, a un endroit ou il y a de la lumière, lentement nous nous en rapprochons, puis nous sortons de cette sorte de « tunnel » sombre, noir, sans vie.

Je découvre un paysage d’une beauté infini, je n’avais jamais vu cela, il y a une rivière, quelque arbres fleurie, un champ de fleurs en face de la rivière, je m’assoie en face de celle-ci, les garçons font de même ils s’asseyent a coté de moi, et l’un d’entre eux, commence à me parler.

« - Nous, voici arriver.

- … Je rester sans mots, devant ce paysage.

- Sache, que nous somme tes amis, nous seront toujours là pour toi, peut importe ta décision.

Ces mots me firent lâcher des larmes, je n’ai jamais eu d’amis, je ne me suis jamais senti aussi bien en présences de quelqu’un.

- Quelle décision ?

- Celle pour laquelle nous somme tous la.
- Tu veux continuer ou tu veux t’arrêté ? Dit un autre.
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Une suite?

Message édité le 06-07-2007 à 21:34:57 par Rose du mal
emeraude661
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34 messages postés
   Posté le 06-07-2007 à 22:07:46   Voir le profil de emeraude661 (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à emeraude661   

la suite stp!!!!! j'aime la manière dont tu écris
amandine3759
Fanatique
amandine3759
63 messages postés
   Posté le 07-07-2007 à 07:13:51   Voir le profil de amandine3759 (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à amandine3759   

Je l'avais déja lu mais j'ai pas pus m'enpecher de la relire !!
La suite !!
BillTom
Par principe, je n'en ai pas...
Fan
3 messages postés
   Posté le 07-07-2007 à 16:46:20   Voir le profil de BillTom (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à BillTom   

moi aussi je l'ai déjà lue, mais c'est pas grave!
j'aime quand même!
Rose du mal
Une rose pas comme les autres...
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Rose du mal
23 messages postés
   Posté le 22-07-2007 à 16:51:40   Voir le profil de Rose du mal (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Rose du mal   

MDR! des RElectrice =)

Je REcontinue ^^
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Chapitre 2





- Celle pour laquelle nous somme tous la.

- Tu veux continuer ou tu veux t’arrêté ? Dit un autre.

- Je ne sais pas, je n’ai pas envie…

- Pourquoi ? Me coupa t-il.

Je lui racontai mon récit, avec tristesse, je continuer a pleuré, mais je savais qu’il fallait que je le finis. Après m’avoir écouté, attentivement, avec cœur, il me répondit, je m’étais senti écouter, tout le monde jusqu'à présent se contre-fiché de ma vie, sauf eux, se qui me faisait le plus grand bien.

- Voila pourquoi…

- Je comprends mieux, mais si tu continue, on t’aidera, on effectuera un nouveau départ. Tu véra. Que décides-tu à présent ?

Je ne sais pas quoi dire, puis contre ma volonté je dis :

- Je continuerai. »

L’eau s’arrêta de couler. Ils partirent tout les quatres de la ou nous venons, je m’allonge sur l’herbe, je ferme les yeux.

Puis je les rouvre, je suis allonger dans un hôpital, une infermière était venue voir comment je me portais quand elle me vit réveiller, elle s’assoie sur mon lit et commence à me parler.

« - Tu sais depuis combien de temps tu et ici ?

- Non, je n’en ai pas la moindre idée.

- Hé bien… sa fait un an jour pour jour.

- Quoi ? Comment sa ?

Je ne comprends pas, j’ai l’impression d’avoir dormis que quelque heure seulement. Je viens de me rendre compte que j’ai perdu 1 année de ma vie.

- Nous somme quel jours madame sil vous plait ? Dis-je poliment.

- Le lundi 15 Septembre. Il est temps pour moi de te laisser. »



Il fallait que je m’y attends que se soit se jour, le jour de mes 17ans.

Une jeune femme entra dans ma chambre, elle avait l’air amical, était habiller en jupe et avec un chemisier, et elle s’approcher, puis c’est assise au bout de mon lit. Elle tenait une enveloppe.

« - Bonjour. Me dit-elle calmement.

- Bonjour.

- C’est bien toi Mina ?

- Oui pourquoi ?

- On vient de m’avertir de ton rétablissement, tien c’est pour toi ** tendent l’enveloppe. **

- C’est quoi ?

- Ouvre. Je pris l’enveloppe de ses mains, et l’ouvrit, je découvrais un billet d’une valeur de 100€. C’est pour moi ? Demandais-je intriguer.

- Toi, et toi Seule !

- Pourquoi, me donnez-vous cet argent ?

- Parce que aujourd’hui ces ton anniversaire.

- Mais se n’était pas la penne.

- Garde le j’y tiens. En attendant prépare-toi je te ramène chez toi.

- Comment sa ? Pourquoi ? Non je ne veux pas !

- Pourquoi tu refuserais de retourner chez toi ?

- Pour rien…

- Bon d’accord. »

Le trajet de son véhicule a chez moi fut des plus silencieux. Je ne parlais pas, ne disais pas un mot elle non plus, je repensais sans cesse a se rêve. La voiture s’arrête, sa y et je vais retourner dans cette enfer, cette prison, elle sonna a la porte, j’ai peur, je stresse.

La porte s’ouvre, doucement, mais surement…

« - Bonjour, que puis-je faire pour vous ? Dit ma mère en affichant un sourire.

- Bonjour, je suis le professeur principal de Mina, et je suis allez la cherchez a l’hôpital…

- Il ne fallait pas madame, c’est très aimable de votre part. Dés que ma mère me vit, elle changea de visage.

- HO… Ce n’est rien. Au revoir ! Dit la personne en partant. »

Ma mère me fit entrer, et me fit m’installer dans la cuisine pour parler. Je crains le pire.

« - Quesque cette enveloppe ?

- Une lettre de rétablissement, de mes amies. Se n’est pas bien de mentir, mais la je n’ai pas le choix. Dis-je d’une voix timide.

- Je peux la lire ?

- NON !

- Tu ne me parle pas sur se ton. Elle m’arracha la lettre des mains, et l’ouvrit, elle y découvrait l’argent. Je pleuré, je ne voulais pas quelle le sache.

- Qui ta donner cela ? De toute façon j’en avais besoins pour m’acheter des vêtements et des produits de beauté.

- Tu n’a pas le droit, cette argent et a moi !

- Et bien maintenant c’est le mien, monte dans ta chambre, a oui, c’est vrai tu n’a plus de chambre, tu étais a l’hôpital. Va dans le grenier, on y a mis ton lit ! Sa sera ta chambre en attendant tes 18ans, pour pouvoir te faire partir !

Je parti en pleurant.
____________________________
la REsuite?! lol
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